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19,90 CHF
Disponible 1 ex.
Face au mur - Un livre pour ceux qui aiment adorer
Don Potter
- Référence JEM1677
- EAN 9782881500961
- Editeur JEM EDITIONS
Description
Don, après sa conversion, a employé ses dons de guitariste au service de l’Eglise, mais il fait part avec honnêteté de ses erreurs de jugement parfois, quant au rôle de conducteur de la louange qui lui fut assigné. Il définit la différence entre louange et adoration, montre qu’une louange prophétique peut changer le coeur, que la louange stratégique peut nous protéger lors de l’assaut d’esprits mauvais. Il encourage le conducteur de louange à très bien connaître la Parole et à avoir une relation intime avec le Seigneur pour discerner tout esprit d’ambition ou toute autre idole. D’abord déposer ses talents devant Dieu qui les emploiera à Sa gloire. De nombreux conseils pratiques, livrés aux conducteurs de louange, précédent un chapitre en appendice sur la définition de 7 mots hébreux qui qualifient la louange.
Détails du produit
- Langue
- Français
Avis du libraire
sentiment_neutral ouvrage disponible avec les remarques suivantes
L’auteur a un certain charisme. Sa manière spontanée et son désir réel de transmettre son vécu sauront toucher le lecteur. Néanmoins, il interprète certains passages bibliques avec une certaine liberté, pages 29, 47 à 60 (parallèle avec les lévites), 65, 172, 173. L’ensemble du livre semble plutôt mal traduit ; par exemple, on constate plusieurs propos avancés quelque peu étranges, pages 5 (vision d’ombres sur les murs), 34 (lutte avec les esprits), 42 (donner à l’Esprit un vocabulaire plus étendu…), 61, 62, 75 (faire ses essais à la maison et non devant le Dieu tout-puissant). A la page 73, il dit qu’un musicien qui en fait trop avec son instrument pour prouver ce qu’il vaut peut même attirer des démons sur l’estrade ; pourtant, d’après les propos des pages 43, 44, 79, on a l’impression que seul le musicien est apte à juger sa musique et que les autres n’y connaissent rien.
L’auteur a un certain charisme. Sa manière spontanée et son désir réel de transmettre son vécu sauront toucher le lecteur. Néanmoins, il interprète certains passages bibliques avec une certaine liberté, pages 29, 47 à 60 (parallèle avec les lévites), 65, 172, 173. L’ensemble du livre semble plutôt mal traduit ; par exemple, on constate plusieurs propos avancés quelque peu étranges, pages 5 (vision d’ombres sur les murs), 34 (lutte avec les esprits), 42 (donner à l’Esprit un vocabulaire plus étendu…), 61, 62, 75 (faire ses essais à la maison et non devant le Dieu tout-puissant). A la page 73, il dit qu’un musicien qui en fait trop avec son instrument pour prouver ce qu’il vaut peut même attirer des démons sur l’estrade ; pourtant, d’après les propos des pages 43, 44, 79, on a l’impression que seul le musicien est apte à juger sa musique et que les autres n’y connaissent rien.
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