Christ et le cosmos
Pour une vision biblique des origines
Edgar Andrews
- Référence EUR5637
- EAN 9781914156373
-
Editeur
Europresse
Description
La théorie de l’évolution est enseignée et acceptée de manière quasi-universelle. Ses affirmations fracassantes sur son statut scientifique produisent une foi quasi-mystique en sa vérité chez ses disciples.
Face à cette déferlante, de nombreux chrétiens évangéliques sont saisis par un complexe d’infériorité. Certains cherchent à concilier leurs croyances avec la « science » de l’évolution – ce qu’on a affublé du qualificatif d’évolution « théiste ». Mais celui qui est sérieux reconnaît qu’il est difficile d’aligner le message biblique sur ce schéma.
Par ailleurs, un nombre croissant de scientifiques semble être gagné par l’idée que l’univers résulte d’une création, et beaucoup cherchent à l’expliquer à leur manière.
L’auteur, un scientifique de renom, porte un regard différent sur la question des origines. Pour lui, il ne fait aucun doute que l’univers résulte d’un acte créateur qui s’accorde avec le message de la Bible. Mais il va plus loin pour montrer que la création n’est pas au centre du message divin. Elle sert à un dessein plus grand. Selon lui, il est nécessaire que le créationnisme se centre sur Christ pour être « biblique ». Tout existe par lui, en lui et pour lui.
208 pages
Détails du produit
- Langue
- Français
Avis du libraire
1ère édition française 2000 sous le titre « Perspective biblique du cosmos » L’auteur présente une critique en règle de l’évolutionnisme théiste, en proposant un développement à la fois philosophique, historique, scientifique et spirituel, dans un style qui rend l’ouvrage accessible à tous. De nombreux exemples sont étayés par des versets bibliques, et visent à convaincre de l’origine divine du cosmos. Au-delà de la création, l’auteur plaide, dans les chapitres 6 et 7 de l’ouvrage afin que Christ soit considéré comme le sujet le plus important du message biblique. « Nous ne pouvons pas cultiver une vision vraiment biblique du cosmos sans reconnaître le caractère absolument central de Christ » (p. 163) Si l’auteur critique à raison l’évolutionnisme comme philosophie qui exclut Dieu, sa critique de l’évolutionnisme théiste nous paraît excessive du fait qu’elle jette un anathème infondé sur les tenants de cette thèse.